Tras la ternura del dragón:
El caracol guerrero:
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Après avoir inspiré la vague révolutionnaire dans le monde arabe, la Tunisie se trouve parfois prise dans des rouleaux d’écume au goût bien amer. Si l’on se mettait en quête d’une preuve que le « printemps arabe » est une expression vide de sens, l’affaire du « jihad sexuel » serait-celle-ci. Des centaines de jeunes Tunisiennes auraient été victimes d’une traite islamiste et envoyées sur le front syrien pour nourrir les fringales libidineuses des membres du front Al-Nosra, un mouvement jihadiste financé par nos chers amis qataris. Le phénomène a pris une telle ampleur que le grand mufti de la République tunisienne a dû publiquement prononcer le caractère haram (illicite) du jihad sexuel tandis que le gouvernement Ennahda annonce déjà l’adoption par les services sociaux tunisiens des enfants nés d’unions aussi éphémères que les étreintes de Woodstock.Eh oui, si l’on y regarde de près, sous couvert de mener la guerre sainte, ces pauvres péronnelles assurent le repos du guerrier vert avec le stakhanovisme des meilleures courtisanes. L’hebdomadaire tunisien Al-Mijhar publie le récit d’une de ces pauvresses qui a gagné la Syrie la foi au cœur. Cette ancienne étudiante en histoire montrait tous les signes extérieurs de l’orthodoxie islamique, voilée qu’elle était depuis ses 17 printemps. Mais, à 21 ans, embrigadée dans des réseaux broussailleux, la voilà qui se rend sur le front nord syrien en compagnie de son mari. Aussitôt divorcée, elle convole en justes noces avec l’un des chevau-légers d’Al-Nosra, qui consomme l’union, puis la répudie… Le cycle mariage-union-divorce se poursuit… 152 fois. À en croire l’ancienne combattante, les islamistes ne manquaient pas d’assiduité dans leurs alcôves, contractant jusqu’à cinq mariages par semaine.La « jihadette » est finalement revenue en Tunisie en juillet dernier, enceinte de six mois, affligée par l’épidémie de Sida et d’autres joyeusetés sexuellement transmissibles qui sévissent parmi la rébellion islamiste. Son premier époux ayant été tué par Al-Nosra pour « rébellion », voilà la jeune jihadette veuve et traumatisée, mais toujours voilée…
Al comisario del puebloNikolái Ivánovich Yezhov
Me gustaría explicarle en esta carta cómo, tras diecinueve años de irreprochable servicio al partido y al poder soviético, después de que el partido y el Gobierno me hayan concedido las órdenes de Lenin y de la Bandera Roja por mis esfuerzos durante dos años de completo sacrificio activo y de lucha en condiciones de una guerra cruel, puede ser que les abandone.
Si me dejáis tranquilo, jamás me embarcaré en nada que perjudique al partido o a la Unión Soviética. No he hecho ni haré nada perjudicial para el partido y nuestro país.
Juro solemnemente hasta el fin de mis días no decir una palabra que pueda perjudicar al partido que me educó, o al país donde crecí.
P.D. Te ruego que des la orden de no molestar a mi anciana madre. Ahora tiene setenta años, y es inocente. Soy el último de sus cuatro hijos y es una criatura enferma e infeliz.
I Tras tres días sin poder separarme de Benjamin Labatut y su Maniac , pero ya he cerrado la última página. Y como suele ocurrir cuando has...