Traducido en términos económicos:
La Chine prête à soutenir l'UE face à la crise financière
Pékin est prêt à soutenir les mesures de l'Union européenne et du FMI pour assurer la stabilité financière de l'Europe, a déclaré mardi le vice-premier ministre chinois Wang Qishan, à l'ouverture d'entretiens économiques bilatéraux. M. Wang a indiqué que Pékin aiderait certains pays membres de l'UE à combattre la crise de leur dette souveraine. Les entretiens, qui se déroulent dans le cadre d'un dialogue sino-européen sur les questions économiques et commerciales, sont conduits côté européen par le commissaire à la concurrence Joaquin Almunia, le commissaire au commerce Karel De Gucht et le commissaire aux affaires économiques et monétaires Olli Rehn. "Il est dans l'intérêt fondamental de la Chine et de l'UE de renforcer encore leur coopération", a déclaré le vice-premier ministre, cité par l'agence officielle Chine nouvelle.
La semaine dernière, les dirigeants de l'UE ont décidé la mise en place d'un mécanisme d'entraide financière durable pour permettre à la zone euro de mieux résister aux crises, qui sera effectif à partir de 2013. La Grèce et l'Irlande ont déjà bénéficié de plans de sauvetage de l'UE et du FMI, tandis que le Portugal, l'Espagne, la Belgique et l'Italie pourraient voir en 2011 augmenter les taux d'intérêt du remboursement de leurs dettes publiques, selon les experts. Durant une visite au Portugal en novembre, le président chinois Hu Jintao avait assuré Lisbonne de la volonté d'aide chinoise, mais Pékin n'a pas encore fait de promesses fermes d'achat d'obligations d'Etat portugaises.
La semaine dernière, les dirigeants de l'UE ont décidé la mise en place d'un mécanisme d'entraide financière durable pour permettre à la zone euro de mieux résister aux crises, qui sera effectif à partir de 2013. La Grèce et l'Irlande ont déjà bénéficié de plans de sauvetage de l'UE et du FMI, tandis que le Portugal, l'Espagne, la Belgique et l'Italie pourraient voir en 2011 augmenter les taux d'intérêt du remboursement de leurs dettes publiques, selon les experts. Durant une visite au Portugal en novembre, le président chinois Hu Jintao avait assuré Lisbonne de la volonté d'aide chinoise, mais Pékin n'a pas encore fait de promesses fermes d'achat d'obligations d'Etat portugaises.
(Le Monde, hoy mismo)
¿Hemos caído en el imperio del todo a cien?, ¿ o era del sol naciente?...
ResponderEliminarSon ellos los que están comprando nuestra deuda a precio de saldo. Y nosotros se lo pedimos de rodillas. ¡Son nuestros salvadores! En resumen: ¡Mandarín a la escuela, ya!
ResponderEliminarAlbricias, pues, me voy a comprar una reproducción plastificada del buda platónico para ponerla en el belén.
ResponderEliminarEste es el futuro que nos espera: tendremos que elegir entre la pseudodemocracia de tipo occidental y el mandarinato. Nada nuevo, ya los griegos estaban siempre dudando entre democracia y aristocracia.
ResponderEliminarLo acabo de leer en Le Monde de hoy:
ResponderEliminarLa Chine investit massivement à l'étranger grâce à ses réserves
Les investissements de la Chine à l'étranger devraient dépasser les 50 milliards de dollars (38,1 mds d'euros) en 2010, en hausse de 15 %, dans des projets énergétiques, miniers et agricoles, rapporte vendredi le China Daily. Pékin veut également que ses sociétés dépensent plus d'argent à l'étranger pour réduire les tensions commerciales avec ses principaux partenaires, selon le China Daily. La Chine veut aussi pallier la faiblesse des investissements dans le pays. Les investissements directs non financiers de la Chine à l'étranger, c'est-à-dire ne comprenant pas ceux des banques, maisons de courtage et assureurs, devraient dépasser les 50 milliards de dollars en 2010, contre 43,3 milliards de dollars en 2009, selon des propos du ministre du commerce, Chen Deming, rapportés par la presse. La Chine occupait le cinquième rang mondial pour ses investissements à l'étranger en 2009. Pour 2011, ces investissements chinois à l'étranger devraient progresser de 11 %, selon le China Daily.
Selon Les Echos de ce vendredi, "l'Europe devient la cible financière prioritaire de la Chine". "Avec une force de frappe financière de près de 2 000 milliards d'euros de réserves de change et 2 200 milliards d'euros d'échanges commerciaux réalisés en 2010, la Chine renforce ses positions mondiales et cible l'Europe", souligne le quotidien économique. "La Chine a d'autres ambitions que l'achat de dette européenne. Au-delà, par exemple, des 900 milliards de dollars de bons du Trésor américain qu'elle détient, elle cherche à prendre pied en Europe pour faciliter au mieux ses affaires. En contrepartie du soutien politique à Athènes, la Chine entend par exemple faire du Pirée premier port grec le centre de transit de ses marchandises vers l'Europe."
Mais la Chine s'intéresse aussi à d'autres régions comme l'Afrique. Elle a octroyé des prêts d'un montant total de 900 millions de dollars au Nigeria pour financer des projets dans les secteurs du transport ferroviaire et de la communication, a indiqué jeudi le ministre des finances nigérian. La Chine a massivement investi ces dernières années en Afrique, notamment dans le secteur stratégique pour son économie des matières premières. Le commerce bilatéral bat des records.
Lo acabo de leer en Le Monde:
ResponderEliminarLa Chine investit massivement à l'étranger grâce à ses réserves
Les investissements de la Chine à l'étranger devraient dépasser les 50 milliards de dollars (38,1 mds d'euros) en 2010, en hausse de 15 %, dans des projets énergétiques, miniers et agricoles, rapporte vendredi le China Daily.
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Selon Les Echos de ce vendredi, "l'Europe devient la cible financière prioritaire de la Chine". "Avec une force de frappe financière de près de 2 000 milliards d'euros de réserves de change et 2 200 milliards d'euros d'échanges commerciaux réalisés en 2010, la Chine renforce ses positions mondiales et cible l'Europe", souligne le quotidien économique. "La Chine a d'autres ambitions que l'achat de dette européenne. (..) En contrepartie du soutien politique à Athènes, la Chine entend par exemple faire du Pirée premier port grec le centre de transit de ses marchandises vers l'Europe."