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miércoles, 2 de noviembre de 2011

« Imbéciles, c’est pour vous que je meurs ! »

« Imbéciles, c’est pour vous que je meurs ! »
Ce sont les derniers mots de Valentin Feldman, professeur de philosophie à Dieppe, membre du réseau de résistance du Musée de l’homme, jetés au visage des soldats allemands qui allaient le fusiller, le 27 juillet 1942, au Mont Valérien.
« C’est pour vous que je le fais » — c’est ce que Lise Bonnafous a lancé aux élèves qui l’entouraient, ce jeudi 13 octobre à la récréation de 10 heures, dans la cour du lycée Jean-Moulin de Béziers, avant de s’arroser d’essence et de craquer une allumette.
Les soldats ont tiré. Certains élèves ont filmé la scène.

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2 comentarios:

  1. Estremecedor artículo de Brighelli. Sería interesante saber si en España se produce también ese número de suicidios; aunque no dudo que se darían -que se dan-el mismo tipo de excusas.
    Saludos.

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  2. Efectivamente, José Miguel. Yo no me he visto capaz de añadir ningún comentario.

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