« Imbéciles, c’est pour vous que je meurs ! »
Ce sont les derniers mots de Valentin Feldman, professeur de philosophie à Dieppe, membre du réseau de résistance du Musée de l’homme, jetés au visage des soldats allemands qui allaient le fusiller, le 27 juillet 1942, au Mont Valérien.
« C’est pour vous que je le fais » — c’est ce que Lise Bonnafous a lancé aux élèves qui l’entouraient, ce jeudi 13 octobre à la récréation de 10 heures, dans la cour du lycée Jean-Moulin de Béziers, avant de s’arroser d’essence et de craquer une allumette.
Les soldats ont tiré. Certains élèves ont filmé la scène.
Sigue AQUÍ
Estremecedor artículo de Brighelli. Sería interesante saber si en España se produce también ese número de suicidios; aunque no dudo que se darían -que se dan-el mismo tipo de excusas.
ResponderEliminarSaludos.
Efectivamente, José Miguel. Yo no me he visto capaz de añadir ningún comentario.
ResponderEliminar