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lunes, 5 de enero de 2015

Procopio


"Procope lui-même n'arrête pas de répéter que ce qu'il raconte est trop beau, trop fou pour être pris au sérieux, et que personne ne le croira" (del prefacio de  Philippe Muray).

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What death can touch

It's a fearful thing to love what death can touch. - Chaum Stern