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martes, 29 de enero de 2013

Y la verdad nos hace sentirnos felices como críos


Bonjour,
J'ai le plaisir de vous annoncer que, oui, Don Luis est bien l'aviateur que nous cherchons. J'ai consulté son acte de naissance et j'ai la confirmation qu'il est le frère de la mère de Paule Ducoloné Maintenant, c'est sûr.
C'était très émouvant et excitant d'aller consulter le registre des naissances. Un vieux registre avec des vieilles pages toutes jaunies et une belle écriture à la plume. Mais pas très facile à lire.
J'ai d'abord eu une déception car, à la date qui était indiquée sur la biographie que j'avais trouvée sur internet, le 14 mars 1889, il était introuvable. Et j'étais là, toute dépitée et ne comprenant pas pourquoi. Et puis je me suis dit: "ce n'est pas possible, il y a bien une explication il faut que je fouille ce registre", et j'ai tourné des pages et des pages.  Je ne trouvais rien et, soudain, alors que je commençais à désespérer, je tombe sur une annotation dans la marge indiquant "décédé à Audenge".  Je n'avais pas encore vu de qui il s'agissait mais je savais qu'il était mort à Audenge. Ça ne pouvait etre que lui.  Et, oui, c'était bien son nom. Restait à lire l'acte pour connaître le nom des parents. Mon coeur battait, j'avais peur que ce ne soit pas encore lui.
Ouf ! C'était bien les parents qu'il me fallait pour qu'il puisse être l'oncle de Paule.
L'explication est qu'il y avait une erreur sur la biographie, il est né le 14 Mai et non le 14 Mars.
J'ai photographié l'acte, et voilà!
Sur internet, j'avais trouvé sa biographie avec beaucoup de détail sur sa vie.
Je ne sais pas si vous l'avez trouvée vous aussi.
Je vous apporte tout ça à Barcelone. Je pense que je pourrai venir ver la fin de la semaine, je vous confirme quand je serai là.
A très bientôt.
Sylvie

Es decir, que ya sabemos con toda seguridad el nombre del amante aviador de Caridad Mercader. La historia no nos lo agracerá nunca lo suficiente. Lo contaré todo el domingo próximo en un artículo en el ARA.

2 comentarios:

  1. El ARA le tendrá que subir el sueldo, seguro que lo venden más por su artículo, ese día.

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  2. Por tu culpa, Júlia, he dejado todo perdido con mi ego, que se me ha sobrado.

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