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sábado, 12 de marzo de 2011

A J.P.Q.

Te respondo con palabras de Vladimir Jankélévitch: 
"La passion n'est-elle pas la cause positive, à la fois nécessaire et suffisante, de toutes nos enterprises?"

5 comentarios:

  1. Nécessaire, sans doute, mais, positive? Que n´a-t-on pas détruit à cause de la passion, que n´as-t-on pas souffert à cause d´elle?

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  3. Cependant, «là où il y a danger, là aussi -affirme Hôlderlin-, croît ce qui sauve»

    Et on peut lire à l'Apocalypse: "Je connais ta conduite: tu n’es ni froid ni chaud – que n’es-tu l’un ou l’autre? – Ainsi, puisque te voilà tiède, ni chaud ni froid, je vais te vomir de ma bouche". (III, 15-16)

    Pedro, acabo de llegar del mercado, empapado, con la compra recién hecha y seca. Y con frío. Me someto volontiers a las mandíbulas divinas.

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  4. Mais Platon ne disait-il pas qu´il fallait être au dessus des passions? Bien qu´il écrivit Le Banquet. À moins que ce ne fût une gigantesque ironie sur les dangers, et non les bienfaits, de la passion.
    Mais Platon déclenche les passions -à cause de l´absence de celle-ci dans ses textes.

    Vamos, Que Platón era bombero (pompier) y pirómano

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  5. Yo creo que Platón nos diría: si no sabes controlar tus pasiones, no eres nada. Pero si no tienes pasiones, aún eres menos.

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