Pierre-André Taguieff en su obra "Julien freund, au coeur du politique" (2008) recoge un diálogo entre Jean Hippolyte y Julien Freund en el transcurso de la defensa de la tesis de este último en 1965:
Hippolyte: Sur la question de la catégorie de l’ami-ennemi, si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à aller cultiver mon jardin.
Freund: Écoutez, Monsieur Hippolyte, vous avez dit […] que vous aviez commis une erreur à propos de Kelsen. Je crois que vous êtes en train de commettre une autre erreur, car vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, comme tous les pacifistes. Du moment que nous ne voulons pas d’ennemis, nous n’en aurons pas, raisonnez-vous. Or c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitiés. Du moment qu’il veut que vous soyez son ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin.
Hippolyte: Dans ce cas, il ne me reste plus qu’à me suicider.
Taguieff se hace eco también de esta respuesta de Raymond Aron a Hippolyte: Votre position est dramatique et typique de nombreux professeurs. Vous préférez vous anéantir plutôt que de reconnaître que la politique réelle obéit à des règles qui ne correspondent pas à vos normes idéales.
"Hippolyte: Dans ce cas, il ne me reste plus qu’à me suicider"
ResponderEliminarNo le hará falta, le bastará con no hacer nada, el enemigo lo hará por él.
Recuerda al fin de Weimar, pero también el fin de las libertades en otras tierras menos lejanas.