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domingo, 12 de noviembre de 2023

« Judaïsme », par André Comte-Sponville

C’était au début des années 80. je rencontre un ancien condisciple de Khâgne et de la rue d’Ulm, que j’avais perdu de vue depuis nos années d’études. Nous prenons un verre, nous faisons en vitesse le bilan de nos vies. Le métier, le mariage, les enfants, les livres projetés ou en cours... Puis mon ami ajoute:
- « Il y a autre chose. Maintenant, je retourne à la synagogue.
-Tu étais juif ?
-Je le suis toujours! Tu ne le savais pas ?
- Comment l’aurais-je su ? Tu n’en parlais jamais...
- Avec le nom que je porte !
- Tu sais, quand on n’est ni juif ni antisémite, un nom, sauf à s’appeler Levy ou Cohen, cela ne dit pas grand-chose... J’ai gardé de toi le souvenir d’un kantien athée. Ce n’est pas une appartenance ethnique ou religieuse ! »

De fait, cet ami faisait partie de cette génération de jeunes juifs si parfaitement intégrés que leur judéité, pour qui en était informé, semblait comme irréelle ou purement réactive. Ils donnaient raison à Sartre : ils ne se sentaient juifs que pour autant qu’il y avait des antisémites. Beaucoup d’entre eux, plus tard, feront ce chemin d’une réappropriation spirituelle, qui donnera un sens positif- celui d’une appartenance, celui d’une fidélité - au fait, d’abord contingent, d’être juif. L’ami dont je parle fut le premier pour moi d’une longue série, qui me donnera beaucoup à réfléchir. Peut-être avions-nous tort de dénigrer systématiquement le passé, la tradition, la transmission ? Mais je n’en étais pas encore là. En l’occurrence, c’est surtout la question religieuse qui me turlupinait. Je lui demande:
- « Mais alors, maintenant.., tu crois en Dieu ?
- Tu sais, me répond-il en souriant, pour un Juif, l’existence de Dieu, ce n’est pas vraiment la question importante ! »

Pour quelqu’un qui a été élevé dans le catholicisme, comme c’est mon cas, la réponse était étonnante: croire ou non en Dieu, c’était la seule chose, s’agissant de religion, qui me paraissait compter vraiment ! Naïveté de goy. Ce que je lisais, dans le sourire de mon ami, c’était tout autre chose : qu’il est vain de centrer une existence sur ce qu’on ignore, que la question de l’appartenance - à une communauté, à une tradition, à une histoire - est plus importante que celle de la croyance, enfin que l’étude, l’observance et la mémoire - ce que j’appellerai plus tard la fidélité - importent davantage que la foi.

Le judaïsme est religion du Livre. Je sais bien qu’on peut le dire aussi du christianisme et de l’islam. Mais pas, me semble-t-il, avec la même pertinence « Le judaïsme, ajoute mon ami, c’est la seule religion où le premier devoir des parents est d’apprendre à lire à leurs enfants ....» C’est que la Bible est là, qui les attend, qui les définit. Pour un chrétien, sans doute aussi pour un musulman, c’est Dieu d’abord qui compte et qui sauve: le Livre n’est que le chemin qui en vient et y mène, que sa trace, que sa parole, qui ne vaut absolument que par Celui qui l’énonce ou l’inspire. Pour un juif, me semble-t-il, c’est différent. Le Livre vaut pour lui-même, par lui-même, et continuerait de valoir si Dieu n’existait pas ou était autre. D’ailleurs, qu’est-il ? Nul prophète juif n’a prétendu le savoir, mais seulement ce qu’il voulait ou ordonnait. Le judaïsme est religion du Livre, et ce Livre est une Loi (une Thora) bien davantage qu’un Credo: c’est ce qu’il faut faire qu’il énonce, bien plus que ce qu’il faudrait croire ou penser! D’ailleurs on peut croire ce qu’on veut, penser ce qu’on veut, c’est pourquoi l’esprit est libre. Mais point faire ce qu’on veut, puisque nous sommes en charge, moralement, les uns des autres.

Si le Christ n’est pas Dieu, s’il n’est pas ressuscité, que reste-t-il du christianisme? Rien de spécifique, rien de proprement religieux, et pourtant, à mes yeux d’athée, l’essentiel: une certaine fidélité, une certaine morale - une certaine façon, parmi cent autres possibles, d’être juif... Il m’est arrivé, quand on m’interrogeait sur ma religion, de me définir comme goy assimilé. C’est que je suis judéo-chrétien, que je le veuille ou pas, et d’autant plus assimilé, en effet, que j’ai perdu la foi. Il ne me reste que la fidélité pour échapper au nihilisme ou à la barbarie.

Il y a quelques années, lors d’une conférence à Reims ou à Strasbourg, je ne sais plus, j’eus l’occasion de m’expliquer sur ces deux notions de foi et de fidélité. Après la conférence, qui se passait dans une faculté ou une grande école, se tient une espèce de cocktail. On me présente un certain nombre de collègues et de personnalités. Parmi celles-ci, un rabbin.
«- Pendant votre conférence, me dit-il, il s’est passé quelque chose d’amusant...
- Quoi donc?
- Vous étiez en train de parler de fidélité. Je dis à l’oreille de l’ami qui m accompagnait: Cela me fait penser à une histoire juive. Je te la raconterai tout a l’heure..."
- Et alors ?
- Alors, c’est l’histoire que vous avez racontée vous-même, quelques secondes plus tard! »

Voici donc cette histoire, qui me paraît résumer l’esprit du judaïsme, ou du moins la part de lui qui me touche le plus, et qu’il me plaît de voir ainsi, en quelque sorte, authentifiée.
C’est l’histoire de deux rabbins, qui dînent ensemble. Ils discutent de l’existence de Dieu, et concluent d’un commun accord que Dieu, finalement, n’existe pas. Puis ils vont se coucher... Le jour se lève. L’un de nos deux rabbins se réveille, cherche son ami, ne le trouve pas dans la maison, va le chercher dehors et le trouve en effet dans le jardin, en train de faire sa prière rituelle du matin. Il va le voir, quelque peu interloqué:
- « Qu’est-ce que tu fais?
- Tu le vois bien : je fais ma prière rituelle du matin...
- Mais pourquoi ? Nous en avons discuté toute une partie de la nuit, nous avons conclu que Dieu n’existait pas, et toi, maintenant, tu fais ta prière rituelle du matin?!»
L’autre lui répond simplement:
- « Qu’est-ce que Dieu vient faire là-dedans?»

Humour juif: sagesse juive. Qu’a-t-on besoin de croire en Dieu pour faire ce que l’on doit? Qu’a-t-on besoin d’avoir la foi pour rester fidèle?

Dostoïevski, à côté, est un petit enfant. Que Dieu existe ou pas, tout n’est pas permis : puisque la Loi demeure, aussi longtemps que les hommes s’en souviennent, l’étudient et la transmettent.

L’esprit du judaïsme, c’est l’esprit tout court, qui est humour, connaissance et fidélité.

Comment les barbares ne seraient-ils pas antisémites ?

domingo, 7 de mayo de 2023

Autómatas

Todos comienzan a filosofar –escribe Aristóteles en su Metafísica- movidos por interrogación de si las cosas son como parece que son, como ocurre con los que contemplan los autómatas de los ilusionistas. Alejandro de Afrodisia explicó este pasaje asegurando que Aristóteles llamaba admirables a los muñecos que parecen moverse por sí mismos, automáticamente.

Sobre autómatas

miércoles, 3 de mayo de 2023

La autoridad en tiempos emotivos

Cuando George Bush padre contendía por la presidencia de los Estados Unidos se negaba a hablar de sí mismo debido a los valores que le inculcaron en la infancia. Si un redactor incluía la palabra “yo” en sus discursos, él la tachaba automáticamente. Sus colaboradores le decían: “¡Está compitiendo por la presidencia, tiene que hablar de usted mismo!”, y lo forzaron a hacerlo. Al día siguiente, Bush recibió una llamada de su madre. “George, otra vez estás hablando de ti…”, le dijo. Y Bush volvió al redil: no más “yoes” en los discursos.


En Aceprensa: La autoridad en tiempos emotivos.


domingo, 23 de abril de 2023

Abecedario filosófico

«Me gustaría pensar que hubo otra época (u otro lugar) en que las cosas eran diferentes. No hemos visto nunca una vida auténtica… y no vamos a verla....» (Henry Miller, Trópico de Capricornio).

domingo, 16 de abril de 2023

Días inolvidables en Madrid

He pasado cuatro formidables días en un Madrid primaveral y acogedor, acumulando pruebas de amistad y cansando del bueno. Llevaba varios proyectos y compromisos en la maleta y todos han salido bien. En todos he reforzado lazos de estima y en todos se han abierto nuevas posibilidades. 

Resumo lo mucho que he vivido en estas fotos:


Ponencia inaugural en el encuentro "Quijotes de la enseñanza", organizado por la Fundación Tatiana en el Espacio Larra. Mi ponencia se titulaba "La permanente actualidad de los clásicos".


Con mi amiga Ana Palacio, a la que cuanto más conozco, más quiero y admiro, en un coloquio en el mismo encuentro. Delante teníamos a más de un centenar de profesores universitarios de toda España.


Entre Álvaro Matud y Fernando Savater -a quienes no considero exagerado llamar amigos-, en una noche memorable en la sede de la Fundación Tatiana. Presentamos mi libro En busca del tiempo en que vivimos en una sala a rebosar, con muchas personas de pie. De hecho no hubo sitio para todos. ¡Qué bien que nos lo pasamos y cuánto nos reímos!


Ese magnífico ejemplar de ser humano que es Pedro Herrero se encargó de dejar constancia de cómo se preparaba el acto. En este momento aún estaba entrando gente. A la izquierda, Helena Farré, la mejor sonrisa de Madrid. En el vino posterior hubo tiempo para saludar, hablar y planificar sueños con personas tan queridas como Alberto Catalán, Álvaro Petit, Marta Fernández Munárriz, José María Marco, María Blanco, Choni Bados, Aurora Nacarino, Luis Herrero, Diego S. Garrocho, Pablo de Lora, Juan Claudio de Ramón, José María Sánchez Galera, David Jiménez Torres, ... y todos los que me dejo.



Con dos gigantes, Carmen Iglesias y Fernando Savater, en la Fundación Ramón Areces. ¡Qué entrañable, Carmen! Conocerla es amarla.


En la librería Ontanilla, en Aravaca, a donde nos desplazamos el viernes por la tarde. En Aravaca nos quedamos a cenar, invitados por las Diotimas. El encuentro tenía como objetivo presentar la Editorial Rosamerón y el éxito superó todas las expectativas.

Añadamos una comida con Álvaro Delgado Gal, Álvaro Matud y Leticia Lombardero; los desayunos en la chocolatería San Ginés, la comida en casa de Ana Palacio, un café con Montserrat Gomendio, un buen rato con Nuno Crato, una entrevista con Helena Farré...


viernes, 7 de abril de 2023

El Padrino

Aprovechando que estoy "alone again (naturally)",  he vuelto a ver la primera y la segunda parte de esa obra maestra que es El padrino

No voy a marearos repasando el derroche de genialidades del guión, los actores, el montaje, la iluminación... y, muy especialmente de un Francis Ford Coppola que impregna cada secuencia impregnándola con su propio estado de gracia. 

Creo que estarán ustedes de acuerdo conmigo en que esta es una de las grandes obras de arte del siglo XX y que a El padrino, como al Quijote o a Homero, hay que volver de vez en cuando, porque nunca decepcionan. Siempre ofrecen algo nuevo. Esta vez he visto en El padrino una reflexión sobre el poder que bien podría haber sido firmada por el mismísimo Maquiavelo. El Padrino es la Florencia de los Medici, pero en los Estados Unidos.

Lo que nos cuenta es que no se puede ascender en el poder sin ir soltando amarras afectivas. En esto el poder es -en parte- como la pobreza. Tampoco se puede caer en la miseria sin que te suelten amarras. 

El poder es la pasión absoluta, el Eros más desnudo y acuciante, el agujero negro en el que se consumen todas las fidelidades.

El crisol en el que cuaja lo que la inmensa mayoría nunca probaremos.

Pero cuando una historia tan triste y desesperanzada como esta te la firma un genio, entonces es hermoso lo terrible y surgen chispas de luz entre los charcos de sangre que van tiñendo las aceras. 

Hay mucho de Lucrecio en Ford Coppola.


miércoles, 22 de marzo de 2023

El cielo prometedor


Hay libros que no paran de dar alegrías... y éste, El cielo prometido, ha sido muy generoso en dádivas. Me costó escribirlo, pero en el proceso fui conociendo a personas magníficas aquí, en Uruguay, en México, en Francia, en Rusia, en Alemania... a algunas de las cuales tengo la satisfacción de poder llamar amigas y sólo por su conocimiento ya hubiera merecido la pena escribirlo. 


Por supuesto, verlo traducido al ruso fue como la guinda del pastel de mi satisfacción. Lo tradujo Vladimir a quien conocí casualmente en... Alicante. 


Hoy ha llegado a las librerías una reedición revisada, corregida y aumentada. He decidido añadir un capítulo final con los descubrimientos que ido acumulando desde que apareció la primera edición y estoy seguro que no dejarán indiferentes a ningún lector.

En resumen, que hoy es uno de esos días en que andas más ligero por la calle, más satisfecho, más alegre... Uno de esos días en los que todo encaja: intenciones, trabajo y resultado. Uno de esos días para saborear a sorbos lentos, haciendo durar las horas con la secreta esperanza de que Caridad Mercader me siga proporcionando motivos par celebrar haberla conocido.

viernes, 24 de febrero de 2023

Viajes

Me ha dado pena dejar abandonados los pantalones que no eran de nadie en la papelera de la habitación del hotel, pero es que he tenido que tomar decisiones drásticas para hacer sitio en mi maleta a los libros acumulados entre regalos y compras. Algún que otro libro se ha quedado también por allí, abandonado a su propio peso y a su sospechosa pesadez.

Ayer fue un día interesante que culminó con un debate con Armando Zerolo en el Colegio mayor Roncalli sobre el estoicismo o, más bien, sobre las razones por las que un neoestoicismo bastante suave parece estar de moda. Muchos asistentes y una gran cordialidad. Gracias a la invitación de Armando me he pasado las últimas semanas releyendo a Musonio Rufo y su discípulo, Epicteto. A Séneca, lo confieso, me cuesta entenderlo. Ya sé que él se defiende de sus potenciales críticos asegurando que no habla de sí mismo en sus escritos, sino de la virtud, pero hay algo en él que siempre me ha parecido hipócrita, aunque, bien es cierto, es, en todo caso, un hipócrita que escribe tan bien que, si te olvidas de su vida, convence. Respecto a Marco Aurelio, se lee fácil, pero hay poca originalidad en sus textos cosa que, por cierto, no les quitaba el sueño a los seguidores romanos de Zenón.

Hoy he pasado por la Universidad Francisco de Vitoria a presentar un libro que, con el respaldo de la Konrad Adenauer Stiftung han editado dos grandes, Adriaan Kühn y Guillermo Graíño: La educación cívica en España. Firmo un largo capítulo titulado "Una ciudadanía sin patria". Hemos tenido, gracias a los universitarios presentes, un debate muy vivo y creo que ameno.

Como me llevan y me traen llevo bien el ajetreo del transporte por Madrid. Además los taxistas suelen ser tan amables que cargan con mi maleta y sus pesados libros. Hoy me ha pasado una cosa curiosa. ¿Qué posibilidades puede haber de que te toque un taxista ecuatoriano que te trasladó por Madrid hace tres años? Lo he reconocido nada más verlo.

- Usted es ecuatoriano, ¿verdad?

- ¿Y cómo lo sabe?

- Sé también que tiene dos hijos y que lleva veinte años en España y que... 

¿Se pueden creer que se ha acordado de mi nombre?

Pero lo mejor del día y, posiblemente, del viaje, ha sido llegar a casa y arrojarme sobre mi sofá preferido. Ya saben que para descansar a gusto la condición imprescindible es estar cansado. ¡Con razón los estoicos alaban tanto el "ponos" (cansancio, esfuerzo, trabajo, diligencia...) socrático. Por algún lugar del trayecto del AVE mi tren se ha cruzado con el de mi mujer, que ha ido a Pamplona.



Ayer por la mañana descubrí, admirado, el chabolista más hacendoso del mundo en una calle muy transitada de Madrid. No sé dónde estaría, pero me hubiese gustado mucho saludarlo.



jueves, 23 de febrero de 2023

Un plato de comida aterriza sobre mis pantalones

Ayer me tiré un plato de comida por encima en el restaurante del Museo del traje de Madrid. Como inmediatamente después participaba en un debate sobre didáctica de la filosofía en la sede de la UNED, que está cerca y, además, hablaría detrás de una mesa, me limpié como pude y me fui al tajo.  Si alguien se fijó en que estaba hecho un lamparón viviente, no lo dijo.

A las 19:30 tenía un encuentro en un centro educativo y me di cuenta cabal, justo al bajar del coche que me llevó hasta las puertas del centro, que no me podía presentar con aquellas pintas desastradas. No había ningún lugar cerca en el que pudiera comprarme un pantalón, pero sí un local con el rótulo esperanzador de "Limpieza en seco". Y allí fui.

Le expliqué a la dependienta lo que me pasaba y resalté la urgencia. La mujer, muy amable,  me dijo que aquellas manchas de grasa no se iban así como así y que, en todo caso, no podría tener listo el pantalón hasta hoy por la mañana.

Noté en su voz un acento conocido.

- ¿No será usted búlgara?

- ¡De Yambol! - me dijo.

Y me puse a loarle la Stara Planina, el río Tundja, Kazanluk, Shipka y, por supuesto, Yambol, cuyo museo conozco bien. La mujer me oía entre carcajadas que se convirtieron en estentóreas cuando pase al elogio incondicional de la Shopka salata, el yogur búlgaro y la raquía. Pero lo del pantalón, me insistió, no tenía arreglo.

- A no ser que...

Y buscó entre la ropa que llevaba esperando meses que alguien viniera a recogerla, un pantalón de mi talla. En realidad me venía bastante grande, pero estaba limpio, así que me lo puse.

- ¿Cuánto le debo? -le pregunté.

- ¿Cómo voy a cobrarle si el pantalón no es mío?

Al final me aceptó 10 euros para un café. Y yo salí de allí con unos pantalones que no eran de nadie pero que me hacían presentable. Y, además, resultaron de mucho abrigo.

sábado, 18 de febrero de 2023

Dos frases

La primera del estoico Epicteto: Si alguien te hiciera saber que un individuo habla mal de ti, no te defiendas contra lo que se haya dicho, sino responde: "Pues ignora los demás defectos que hay en mí, de lo contrario no habría dicho solo esto."

La segunda, del liberal Cristino Martos: Se me agravió de tal suerte, se me injurió en forma tan grosera, que los insultos que recibí no los hubiera considerado justos ni aun dirigidos a las personas que los profirieron.

Vehemencia

 I Tras tres días sin poder separarme de Benjamin Labatut y su Maniac , pero ya he cerrado la última página. Y como suele ocurrir cuando has...